1. |
Et si parfois
04:24
|
|||
Et si parfois
Il y a ces mots dans tes yeux
Ceux que tu ne diras jamais
Ces mots‘ qui sont autant d’aveux
Que je suis seule à comprendre
Il y a ces mots dans tes yeux
Ceux que tu penses’ imparfait
Ces mots que tu veux silencieux
Que je suis seule à entendre
Et si parfois dans tes absences
Je me perds, je m’éloigne du port
Et si parfois dans tes errances
J’ai l’impression d’être au dehors
C’est toi que je cherche encore
C’est toi que je cherche encore
Et si parfois dans tes absences
Je me perds, je change de décor
Et si parfois dans tes errances
Un sentiment d’être au dehors !
Il y a ces mots dans tes yeux
Ceux qui dissipent les vents mauvais
Ces mots que l’on partage à deux
Que je n’ai pas à apprendre
Et si parfois dans tes absences
Je me perds, je change de décor
Et si parfois dans tes errances
J’ai l’impression d’être au dehors
C’est toi que je cherche encore
C’est toi que je cherche encore
C’est toi que je cherche encore
C’est toi…
|
||||
2. |
Divines
03:41
|
|||
Divines
Dans les magazines
Y’a des stars en limousine
Sur papier glacé
Des filles jamais fatiguées
Sourires affichés
Pommettes un peu trop tirées
Des femmes longilignes
Avec leurs yeux d’opaline
Moi j’suis pas de ce monde
Même pas blonde
Mais ça me fascine
Toutes ces divines
Moi j’suis pas de ce monde
Même pas blonde
Mais ça me fascine
Ces bécassines
Sur mon bureau
Y’a tout un tas de photos
Ma vie raccourcie
Les enfants et mon mari
Dans mon planning
Les heures de baby-sitting
La liste des courses
Et les cours de la bourse
Moi j’suis pas de ce monde
Même pas blonde
Mais ça me fascine
Toutes ces divines
Moi j’suis pas de ce monde
Même pas blonde
Mais ça me fascine
Ces bécassines
Mais dans le taxi
Qui me ramène aujourd’hui
Je crois qu’j’ai la dose
Je voudrais faire une pause
Penser à autre chose
Ne plus plaider ma cause
Etre en roue libre
Retrouver mon équilibre
Moi j’suis pas de ce monde
Même pas blonde
Mais ça me fascine
Toutes ces divines
Moi j’suis pas de ce monde
Même pas blonde
Mais ça me fascine
J’voudrais le bleu des îles
L’inutile
Qu’on me trouve sublime
C’est pas un crime
Pouvoir être futile
Infantile
Dans les magazines
En limousine
|
||||
3. |
Premier jour
03:34
|
|||
PREMIER JOUR
TU M’AS DIT « QUE SENS-TU
A L’ ABRI DE MA PEAU ?
TOI QUI POURRAS BIENTOT VIVRE AU MILIEU DE NOUS
A L’ENFANT QUI VA NAITRE
LE MONDE TEND LA MAIN »
J’ENTENDS UNE VOIX,
EST-CE BIEN TOI OH MA MAMAN,
DONT JE REVE SI SOUVENT
EST-CE BIEN TOI ?
TU M’AS DIT « QUE VOIS-TU
AU TRAVERS DE MA PEAU ?
VOIS-TU CETTE LUMIERE QUI PERCE JUSQU’A TOI ?
C’EST LE SOLEIL DE L’AUBE
QUI T’APPELLE A LA VIE »
J’ENTENDS UNE VOIX,
EST-CE BIEN TOI OH MA MAMAN,
DONT JE REVE SI SOUVENT
EST-CE BIEN TOI ?
TU M’AS DIT « ENTENDS-TU
LES FLEURS CHANTER DE JOIE ?
LES OISEAUX APPLAUDIR ? VIENS DANSER AVEC NOUS
AU CONCERT DE LA VIE,
NOUS SOMMES TOUS MUSICIENS ! »
J’ENTENDS TA VOIX,
EST-CE BIEN TOI OH MA MAMAN,
ME VOILA MAINTENANT
OUI C’EST BIEN TOI !
UNE FORCE NOUVEL’ M’ENTRAINE
DES PROFONDEURS MARINES
UNN ECLAIR AUX MILLE COULEURS
JAILLIS DE MA POITRINE
J’ATRAPPE AU VOL DU VENT MOELLEUXAU GOUT SI SUCRE
UNE CARESSE SUR MA PEAU ME LAISSSE TOUT EN FRISSONS
J’ENTENDS LA VIE CHANTER
ET TA VOIX QUI MURMURE
QUI JE SERAI DEMAIN………
|
||||
4. |
Envie de vivre
03:17
|
|||
Envie de vivre
Il rêve de ciel d’ocre et de poussière
Et de terres brûlées par le soleil
Au fil de ses nuits sans sommeil
A trouvé les chemins de pierre
Il a suivi d’autres ailleurs,
Construit sa vie,
Si loin des peurs,
Si loin d’ici, si proche du cœur
Et dans cet Eden, la mémoire de mon père
Une illumination aux portes du désert
Alors tout me ramène à cette envie de vivre
Pour marquer son histoire dans le livre
Ses pas le mènent vers la ville blanche
Il marche sur les traces de son passé
Des images, souvenirs-oubliés
Comme un amer parfum de revanche
Il a suivi d’autres ailleurs,
Construit sa vie,
Si loin des peurs,
Si loin d’ici, si proche du cœur
Et dans cet Eden, la mémoire de mon père
Une illumination aux portes du désert
Alors tout me ramène à cette envie de vivre
Pour marquer son histoire dans le livre
Devant lui la maison de son enfance
Au bout du hall le jardin immense
Une porte ouverte sur l’innocence
Et sur les murs, leurs ombres, dansent………….
|
||||
5. |
Burn out blues
04:56
|
|||
BURN OUT BLUES
PLUS VITE PLUS HAUT PLUS FORT, ENCORE ACCELERER
ME VOILA SUR LA BRECHE, COURANT APRES LE TEMPS
AU FOUR ET AU MOULIN, A PAROLE, A CAFE,
MAIS CE NE SONT PEUT-ETRE, QUE DES MOULINS A VENT !
BURN OUT BLUES, COUVREZ-MOI D‘UN MANTEAU DE SILENCE,
BURN OUT BLUES N’ATTENDEZ NI PROJETS NI PROMESSES,
J’IRAI PARCOURIR LA PLAINE IMMENSE,
JUSQU’AUX SOURCES OU LES REVES RENAISSENT
ON AFFICHE MES RATIOS, POUR ME METTRE LA PRESSION
DANS L’ORGANISATION, JE N’SUIS QU’UN NUMERO,
CELUI QUI SE DESSINE, LENTEMENT SUR MON FRONT
RESSEMBLERAIT PLUTOT, A UN DOUBLE ZERO !
BURN OUT BLUES, COUVREZ-MOI D‘UN MANTEAU DE SILENCE,
BURN OUT BLUES N’ATTENDEZ NI PROJETS NI PROMESSES,
J’IRAI PARCOURIR LA PLAINE IMMENSE,
JUSQU’AUX SOURCES OU LES REVES RENAISSENT
PONT ACOUSTIQUE
LE MOINDRE MOT DE TROP, ME FAIT SORTIR LES GRIFFES
MES ENFANTS RASENT LES MURS, ET LES COPAINS M’EVITENT
JE N’ME RECONNAIS PLUS, QUAND J’ME REGARDE EN FACE
JE N’AI PLUS SUR LES LEVRES, QU’UN SOURIRE DE GRIMACE !
BURN OUT BLUES, COUVREZ-MOI D‘UN MANTEAU DE SILENCE,
BURN OUT BLUES N’ATTENDEZ NI PROJETS NI PROMESSES,
J’IRAI PARCOURIR LA PLAINE IMMENSE,
JUSQU’AUX SOURCES OU LES REVES RENAISSENT
|
||||
6. |
Peut-être
03:50
|
|||
Peut-être…
C’est dans ce quartier perdu
Que vous tapez à sa fenêtre
Ce charisme inattendu
Qui vous devine peut être
Perdue dans votre mal-être
Il y a ce visage entrevu
Peut être une histoire qui va naître
Ou peut-être rien de plus
Le temps de croiser ce regard
Et tout semble suspendu
A cette force du hasard
A la beauté de l’Inconnu
Et il effleure votre main
Emotion mal contenue
De vos peurs il n'aurait rien su
Peut-être reviendrez-vous demain
Dans ce quartier perdu
Reprendre le cours d’une histoire interrompue
Vous auriez frappé à sa porte
Alors il serait apparu
Vous auriez souri de telle sorte
Qu’il vous aurait reconnu
Il vous aurait laissé entrer
Sous les rumeurs de l’avenue
Vous n’auriez pu vous détacher
De son parfum sur sa peau nue
Et puis la lumière s’est éteinte
Mais vous avez disparu
Et puis la lumière s’est éteinte
Vous avez oh ! longtemps couru
Et il effleure votre main
Emotion mal contenue
De vos peurs il n'aurait rien su
Peut-être reviendrez-vous demain
Dans ce quartier perdu
Reprendre le cours d’une histoire interrompue
Entre ses mains votre main
Emotion mal contenue
De vos peurs il n'aura rien su
Peut-être reviendrez-vous demain
Dans ce quartier perdu
Pour vivre l’histoire d’un désir absolu
|
||||
7. |
Ne raccroche pas
04:02
|
|||
NE RACCROCHE PAS
Attends ne t’en va pas
Ce n’est pas un jeu
Reviens, reviens à toi
Bas-toi tu le peux.
Attends pourquoi partir ?
Ca ne résous rien
Et tu veux en finir
Finir comme un chien.
Ton destin ce n’est pas
De partir ce soir
Tu vaux bien mieux crois-moi
Que ces idées noires.
Refrain
Et pour une fois
Que je t’appelle
La première
Tu ne sais pas,
Tu es souvent,
Dans mes prières !
Ne raccroche pas
Parle-moi encore
Parle-moi
Tu ne sais pas
Tu es celui
Que je préfère.
Elle t’a dit c’est fini
Je lui parlerai
Tu l’aimes à la folie
Oh ! Oui je le sais.
J’aurais aimé te dire
Quelles pensées m’animent
Les meilleures et les pires
Ou les plus intimes.
J’n’ai pas osé parler
Elle est mon amie
Depuis qu’elle t’a quitté
Tu veux fuir la vie.
Au refrain
Je suis derrière ta porte
Allez ouvre-moi ;
Tu m’as dit d’être forte
Reste au moins pour moi.
Je suis si près de toi
Si près mais dehors
Je n’entends plus ta voix
Mon Dieu ! Tu as eu tort
J’entends comme un bruit sourd
Un bruit dont j’ai peur
Comme un corps bien trop lourd
Comme un corps qui se meurt.
Et maintenant
C’n’est pas la vie
Qui nous sépare
Et mon tourment
N’est pas fini
C’est notre histoire !
Ne raccroche pas
Parle-moi encore
Parle-moi
Tu resteras
Toujours celui
Que je préfère !
|
||||
8. |
Carmencita
04:14
|
|||
CARMENCITA
L’AMOUR EST REBELLE, JAMAIS ENCHAINE,
EN VAIN TU L’APPELLES S’IL LUI CONVIENT DE REFUSER
L’AMOUR EST UN ENFANT DE BOHEME,
QUI N’A JAMAIS RESPECTE DE LOIS
SI TU NE M’AIMES PAS, MOI JE T’AIME,
ET SI JE T’AIME PRENDS GARDE A TOI
UN OISEAU REBELLE, MAL APPROVOISE,
IL DEPLOIE SES AILES ET VOILA QU’IL S’EST ENVOLE,
L’AMOUR EST UN ENFANT DE BOHEME,
QUI N’A JAMAIS RESPECTE DE LOIS
SI TU NE M’AIMES PAS, MOI JE T’AIME,
ET SI JE T’AIME PRENDS GARDE A TOI
TU CROIS LE TENIR, C’EST LUI QUI TE TIENT
QUAND TU VEUX T’ENFUIR, COMME PAR MAGIE, IL TE RETIENT,
L’AMOUR EST UN ENFANT DE BOHEME,
QUI N’A JAMAIS RESPECTE DE LOIS
SI TU NE M’AIMES PAS, MOI JE T’AIME,
MAIS SI JE T’AIME PRENDS GARDE A TOI
|
||||
9. |
Rêve d'ailleurs
04:26
|
|||
REVE D’AILLEURS
J’AVAIS TOUJOURS REVE D’AILLEURS
ET LA, MES ENNUIS ONT COMMENCE
CHERCHE LA-BAS UNE LUEUR
MAIS C’EST LA ………..QUE LA CHANCE M’A LACHEE
UN SAC SUR DEUX DEJA PERDU
JE VAIS A L’ADRESSE CONVENUE
MON HOTEL N’EXISTAIT PLUS,
DISPARU !
SI T’AS, COMME MOI SOIF DE PARTIR LA-BAS
COURIR AU LOIN, MAIS DIS-TOI BIEN
QU’A MONTSOURIS, TU PEUX REVER AUSSI
C’EST PAS BIEN GRAND, MAIS SI CHARMANT AU PRINTEMPS,
(DANS TON CŒUR SENS LA CARESSE DU VENT)
ARME DE MON PANORAMIQUE
AU CŒUR, DE CETTE AFRIQUE SAUVAGE
J’AI VU, SUR-TOUT DES MOUSTIQUES
EXCITANT ………………SUJET DE REPORTAGE
DANS UN BEL ELAN CULTUREL
JE GÖUTE UN PLAT TRADITIONNEL
C’ETAIT DES FOURMIS AU MIEL
IRREEL !
SI T’AS, COMME MOI SOIF DE PARTIR LA-BAS
COURIR AU LOIN, MAIS DIS-TOI BIEN
AU PONT D’ISSY, TU PEUX REVER AUSSI
QUELLE MERVEILLE, VOIR LE SOLEIL QUI S’EVEILLE
(LA SEINE PALPITE, L’AIR SCINTILLE DE PEPITES)
ATTIRE PAR UN CHŒUR D’ENFANTS OH,
J’APPROCHE, ET SUIT L’ECHO DANS LA COUR,
PLUTOT QUE SUR LEUR TAMBOURS
JE LES VOIS ……….SUR LEURS JEUX VIDEOS
J’AVAIS ENTREPRIS CES VOYAGES,
SUIVANT MON REVE NOSTALGIQUE
JE SENS COMME UN DERAPAGE
PATHETIQUE !
SI T’AS, COMME MOI SOIF DE PARTIR LA-BAS
COURIR AU LOIN, MAIS DIS-TOI BIEN
QUE FUIR AILLEURS, NE T’AIDERA EN RIEN
TON AME TOUJOURS, RECHERCHE ENCORE DE L’AMOUR
REGARDE BIEN, ICI C’EST DEJA LOIN …
|
||||
10. |
Déconnecté
03:49
|
|||
DECONNECTE
TU N’MANQUES PAS D’AMIS
AU MOINS MILLE FOLLOWERS
AUTANT DE LOVERS
QUI’ONT LIKE TON PROFIL
UNE HEURE SANS TEXTO
TU ES EN MANQUE ET TU AS VRAIMENT TROP LE. ……
……TWIT DANS LA PEAU !
SITU ES CONNECTE, TU PEUX TOUJOURS SURFER,
IL TE FAUT TA DOSE POUR PLANER,
SI T’ES PAS CONNECTE,
TU N’PEUX PAS RESPIRER, TON P’TIT SHOOT DE COMMUNAUTE
FACE A TON EBOOK
UN REGARD SUR WHATSAPP
SI C’EST PAS FACEBOOK
ALORS C’EST SUR SNAPCHAT
TOUJOURS PLUS DE FANS
C’EST LA DEVISE QUE TU REPETES EN BOUCLE………
…….SUR TA WEBCAM !
SITU ES CONNECTE, TU PEUX TOUJOURS SURFER,
IL TE FAUT TA DOSE POUR PLANER,
SI T’ES PAS CONNECTE,
TU N’PEUX PAS RESPIRER, TON P’TIT SHOOT DE COMMUNAUTE
TU N’MANQUES PAS D’AMIS
AU MOINS MILLE FOLLOWERS
AUTANT DE LOVERS
QUI’ONT LIKE TON PROFIL
UNE HEURE SANS TEXTO
TU ES EN MANQUE ET TU AS VRAIMENT TROP LE. ……
……TWIT DANS LA PEAU !
SI T’ES PAS CONNECTE,
TU N’PEUX PAS RESPIRER, TON P’TIT SHOOT DE COMMUNAUTE
MAIS LES VRAIES LIAISONS N’ONT QUE FAIRE D’UN CLAVIER
ELLES VEULENT TA SENSUALITE !
JE TE DIS SOUVENT
QUE TOUT CA C’EST DU VENT
JE VEUX T’EMBRASSER
PAS SEULEMENT TCHATER
J’AI BESOIN D’PASSION
HIER SOIR J’AI POSTE UN DERNIER MESSAGE…………….
…………………FIN D’CONNEXION !
|
||||
11. |
La maison
03:40
|
|||
La maison
Au bout du chemin de pierre grise
Il y avait la maison, la remise
Cet arbre seul dans le ciel d'été
Comme une sentinelle oubliée
Elle nous attendait sous la marquise
Petite silhouette imprécise
Un chapeau de paille, un tablier
Et ce sourire jamais effacé
On a tous une maison
Nichée dans nos souvenirs
On a tous une raison
Une raison pour y revenir
On laissait dans la chambre les valises
Le papier peint avec les cerises
Déjà montait l'odeur du café
Et nos premières courses dans les prés
Au loin, des colonnes de poussière
Poussées par des vents indolents
Qui semblaient glisser dans la lumière
Et fuir vers l’horizon absent
Refrain
Le soir dans la plume des duvets
On guettait les bruits derrière les volets
On se racontait de drôles d'histoires
En faisant même semblant d'y croire
Et puis venait quelque chose dans l'air
Comme une impression de ciel couchant
Comme une envie d'étirer le temps
Pour s'éloigner de tous les hivers
Refrain
|
||||
12. |
NYC blues
04:20
|
|||
NYC blues
Quelques notes comme un cœur régulier
Qui tapent sur l'asphalte surchauffée
Lower East Side pas un souffle d'air
Faudrait bouger, changer d'atmosphère
Ses yeux noirs dans le rétroviseur
Don't worry man, I'm not your sister
J'abandonne le cab sur l'Hudson River
Uptown je retrouve enfin des couleurs
New York City Blues
A regarder passer ma vie
Un piano jazzy
Hey ! take the shine from your shoes
NYC blues
Les lumières s’enfuient
Qu'est-ce que je fais encore ici
No news in Day News
Tout renvoie à mon ennui
NYC blues
Au Rockfeller center café glacé
Dans le souffle de l'air conditionné
J'abandonne Prométhée aux enfers
J'avance vers un Eden Salutaire
Refrain
Planqué derrière l'escalier de secours
Vieux Moe qui veille c'est pas très glamour
A l'entrée du club, pas de red carpet
On m'attend, pour fixer la repet
Refrain
|
||||
13. |
Ce film américain
05:15
|
|||
Ce film américain
C’était un soir où rien ne vient
Un soir dans une ville inconnue
Peut-être Milan ou Berlin
De toute façon je ne me souviens plus
J’allais au hasard des rues
J’attendais que vienne le matin
Ou quelque chose d’inattendu
Pour disperser tous les chagrins
Comme dans ce film américain
Il ne se passait presque rien
C’était si peu mais tellement bien
Et c’est là que je vous ai vu
Vous marchiez seul dans ce jardin
Vous aviez l’air un peu perdu
Comme quand on prend un dernier train
On s’est vu, on s’est reconnu
Un simple geste de la main
Moi, que rien n’étonnait plus
Vous, la mort en ce jardin
Refrain
C’était un soir où rien ne vient
Un soir dans une ville inconnue
Peut-être Milan ou Berlin
De toute façon je ne me souviens plus
J’allais au hasard des rues
J’attendais que vienne le matin
Ou quelque chose d’inattendu
Pour disperser tous les chagrins
Refrain
|
Streaming and Download help
If you like Lisa L, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp